Pourrais je un jour pardonner à ma femme?

En rentrant du boulot, ma femme m'annonça qu'elle me réservait une petite surprise et que des que les enfants seraient couchés elle me la montrerai. Cela fait un mois que je ne suis pas passé à la casserole et j'ai prié toute la journée pour qu'elle oublie notre partie de jambes en l'air mensuelle, mais Dieu dans son infini bonté a donné à ma femme un corps et une mémoire d'éléphant.
A l'heure de manger, nous étions à table mais mon appétit était troublé par les images que je me faisais de nos futurs ébats de ce soir. Pourtant elle avait préparée au four un délicieux ragondin qu'elle avait pris soin de tuer en l'étouffant sous son aisselle, ce qui expliquait pourquoi cette pauvre bête avait encore les yeux exorbités, preuve évidente d'une mort plus que violente.
Les enfants couchés, je me suis d'abord enfermé dans les toilettes pour dans l'ordre : vomir, sniffer de la coke, boire une gorgée de whisky, revomir, resniffer, etc. et ceci pendant une quinzaine de minutes. Empli par la peur, stressé, fatigué par une journée de boulot éreintante, je fus pris d'une panique sans nom et j'eus le réflexe idiot et infantile d'appeler ma mère. En entendant sa voix rassurante de fumeuse de gitanes, je me mis à pleurer en lui répétant qu'elle et les putes que je vois régulièrement sont les seules femmes que j'aime et que je respecte. En femme forte, elle me somma d'arrêter de pleurer et selon ses propres termes : "d'aller mettre un coup de bite à la grosse". Elle me dit aussi d'arrêter de faire l'enfant et de ne plus appeler quand elle s'épile les tétons.
Ma mère est une femme sage et ses mots attentionnées me donnèrent du courage. Je sortis des toilettes et allait rejoindre mon obèse de femme dans notre chambre en retirant mes vêtements trempés de sueur.
Mais le spectacle que je vis en rentrant etait tout bonnement intolérable pour l'œil humain : elle était allongée sur le lit conjugal et au milieu de ce tas de graisse flasque et mou, de poils drus et épais, se tenait dressé un objet de forme phallique et de couleur rose. Oui mes amis, la fameuse surprise de cette grosse vache adipeuse était un gode ceinture.
Mon sang ne fit qu'un tour, après toutes ces années ou elle m'avait pris mon argent, ma joie de vivre, ma santé, ma jeunesse et mes espoirs elle voulait aussi me prendre ma plus précieuse fierté : je parle bien entendu de ma virginité anale.
Je me dirigeai vers son placard et saisis le sécateur dont elle se servait pour se couper les ongles de pieds. Je me précipitai vers elle et tailla en plusieurs morceaux l'objet qui devait servir à me péter mon étroite rondelle. Ensuite, me voyant fou de rage et crier qu'elle n'aura pas mon trou de balle aussi facilement, elle tenta de m'expliquer qu'elle voulait seulement pimenter un peu nos jeux sexuels et qu'elle s'excuse infiniment.
Je pris les clefs de ma twingo en lui expliquant qu'il fallait que je sorte pour me calmer. Dois je lui pardonner de vouloir me sodomiser étant en panne de lave vaisselle ou bien laisser tomber cette grosse truie pour une femme moins grosse, moins chiante et surtout moins sodomite? EN SAVOIR PLUS >>>

@Carmina : Je crois que Mohamed essaye par tous les moyens nécessaires de choper la MR sur cette question j'aime ses réponses surprenantes et c'est pourquoi il est en haut de ma liste
Cher Monsieur Strutter,
Je vais vous souffler une idée qui ne manquera pas de vous séduire.
Puisque Madame semble trouver vos ébats quelque peu répétitifs et souhaite les diversifier un peu, dites-lui que le gode-ceinture n'était pas la bonne solution.
Suggérez-lui ainsi de faire de votre chambre un peep-show. Je vous dresse le tableau :
Elle, assise sur une chaise, cachée derrière un immense drap tendu avec une mince ouverture pour qu'elle regarde en direction du lit conjugal.
Vous, entouré de trois prostituées belles comme le jour que vous prendrez vigoureusement.
Vous aurez ainsi la satisfaction de la combler sans même avoir à la toucher.
Au final, tous deux aurez vécu une expérience sexuelle extra-ordinaire.
Vous me direz ce qu'elle en pense.
Bien à vous,
Eole.
Je propose qu'en guise de punition tu lui confisque la machine à laver. Excellentissime! Merci!
Pfff
Peut être que ton énervement, vous a conduit ta twingo et toi vers un sex-shop et que là, voyant tous ces objets, plus démeusurés les uns que les autres, l'envie de lui faire goutter à la même chose te pri. Mais pas en donnant de ta personne, vu l'énorme masse qu'il aurait fallu traverser. Tu te serais fourni en une multitude de jouets bien appropriés. De retour à la maison, tu lui aurait fais un rapide topo de ce qui l'attends, parce que c'est encore toi l'HOMME, même si elle en a plusieurs fois le poids, et crois en avoir les capacités sexuelles. Et là, apres l'acte, tu lui aurait pardonné.
c une gamelle et toi t'as pas de bol!